24H AU JAPON
VOL AF276 VERS L' AEROPORT DE NARITA
Posés à 8h30 à l'aéroport de Narita. Vol super dans l'airbus A380, très confortable même en bétaillère ! On y mange bien, on y dort aussi facilement et on y regarde au moins 5 films d'affilés. Au moins. Calixte a fait son plein: regarder 4 fois d'affilé son film préféré "la Reine des Neiges" !
Descente de l'avion, passage immigration, douane... et cette fatigue qui ne nous lâche pas. Dans le taxi qui nous mène à l hôtel, tout se résume ainsi: aéroport - paupières - rizières - paupières - gigantesque statue de Bouddha - paupières - hôtel. La journée ne fait que commencer, métro/ Tokyo nous voilà !
TOKYO, LE METRO ET LE KODOKAN
Une petite escale prolongée pour aller voir le Kodokan, lieu où est né le judo. Vous le savez, Gervais est un grand judoka dans l'âme, et ne pouvait se permettre de manquer ça; il nous a entrainé avec lui dans ce périple japonais... et ses embuches du métro local !! car c'est bien le parcours du combattant quand on ne connait ni la langue, ni l'écriture... changer plusieurs fois de lignes de métro, payer un surcoût à chaque passage (car les lignes appartiennent à des sociétés différentes), se perdre, faire demi-tour... pour enfin voir l'ancien et le nouveau KODOKAN. A deux endroits différents, évidemment !
J'oubliais ! Les japonais garderont certainement en mémoire 4 européens avachis les uns sur les autres (=> décalage horaire), tel un jeu de cartes écroulé, en train de dormir (de baver et de ronfler surement) dans l'équivalent de notre RER... le trajet entre l'hôtel et le centre ville étant très long. Magnifique.
Voir enfin! le tout premier endroit où Jigoro Kano inventa le 1er art martial japonais... et la salle actuelle d'entrainement.
Nous avons pu assister à un entrainement de judo mais Gervais n'a pas demandé s'ils pouvaient, Isild et lui, monter sur le tatami, d'une part parce que nous étions très fatigués et d'autre part... la cheville de Gervais est encore bien enflée (...).
Heureux malgré tout ! mais cependant légèrement déçus de constater que l'ancien Kodokan (le seul, le vrai) se retrouve noyé en plein centre ville, perdu dans un encastrement d'immeubles. Ca cassait un peu le mythe...
